Plus de 40 ans d’architecture m'ont forgé une vision obsessionnelle de la géométrie, de la rigueur, du cadre, de l’équilibre des masses et des couleurs, même s'il est probable que cela soit l'inverse. 

Les cadrages de mes photos  sont inconsciemment composés à l'ombre de cette monomanie.

C'est d'ailleurs celle-ci qui attire mon œil sur le sujet que mon objectif va capter.

Pour autant, mon l'œil ne se limite pas à cette vision.


La lumière dans toutes ses composantes est bien sûr une source d'inspiration inépuisable dont il profite largement.


Bien au-delà du strict respect de la réalité que le capteur est capable de saisir, se sont les émotions, les ressentis que la scène me procure qui m’intéresse; ma perception, quitte à violenter mon capteur.

Le choix entre la  “réalité  objective“ et la “réalité subjective “.
Le second choix a souvent ma faveur.

Se sont, pour chaque sujet, mes ressentis qui vont donner une empreinte, un caractère particulier à mes photos, et détermineront le choix du post-traitement.

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